samedi, 20 of avril of 2024

Category » Citoyenneté

La crise, le Labo, le SOL

Résumé : la crise va donner au secteur de l’ESS des opportunités et une responsabilité considérable. Elle ne peut y faire face qu’en élaborant une vision dynamique et transformatrice non réduite au seul champ économique. Elle doit être aussi éducative et politique comme c’était le cas à l’origine du mouvement associatif et de ses formes mutuallistes et coopératives. Elle doit pour se faire développer d’abord en son propre sein ses propres valeurs affichées en particulier celles de solidarité et de démocratie. Elle doit également passer des alliances dynamiques avec des forces ouvertes à ces deux valeurs en particulier à l’échelle territoriale. Deux outils apparus ces dernières années peuvent puissamment l’y aider. Le Labo de l’ESS d’une part, la monnaie solidaire SOL d’autre part.

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Quelle démocratie ? Liste ouverte…

  1. Confiscation du pouvoir par ceux qui payent la pub, les sondages et le lobbing1

  2. Concurrence déloyale du capitalisme vis à vis des organisations autogérées2

  3. Partenariat où des décideurs invitent des citoyens peu organisés, font semblant de les écouter et surtout… tentent de les convaincre

  4. Pendant que nous nous battons pour faire changer des détails, une véritable dictature financière se met en place

  5. Les mots ne permettent plus de penser la réalité, car ils sont sans cesse digérés par le capitalisme3

  6. Difficulté à se remettre en question, même du côté militant4

  7. Incompétence de nombreux militants à communiquer en démocratie5

  8. Non prise en compte du vote blanc

  9. Nous sommes noyés dans trop de démocratie : il faudrait plus qu’une vie pour être un bon citoyen6

  10. En cumulant trop de mandats, beaucoup d’élus ne peuvent pas être efficaces

  11. Nous sommes dans un état de dégénérescence de la démocratie qui nous fait entrer – à moins que nous y soyons déjà pleinement entrés – dans le régime oligarchique. Un cercle restreint de puissants discuteraient, en conclave, de décisions qu’ils imposeraient par la suite à l’ensemble des citoyens, comme par exemple dans le cas du Traité de Lisbonne imposé aux Européens.7

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À vous de complétez la liste en rédigeant un commentaire, le webmaster les rajoutera au fur et à mesure…

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1La fabrication du consentement de Noam Chomsky et Edward Herman, éd. Agone

2Transition écologique et transition économique du 12/02/10 de Christian Arnsberger, p. 11

3Cf. Pélican n°25 du 08/09/10 de RÉCit

4Les enfants se plaignent de l’immobilisme de leurs parents, mais une fois parents, ils n’acceptent pas que leurs enfants les fassent évoluer.

5Trop sûrs d’avoir raison, ils heurtent les politiques et fonctionnaires qui se bloquent pour ne pas perdre la face.

6Élections politiques, vie de quartier, école des enfants, élections professionnelles, élections syndicales, associations militantes, associations culturelles, associations sportives, multiples coopératives (de consommateurs (SuperU, AMAP…), banque, assurances, mutuelle…)

7Cf. conférence MP3 « Hervé Kempf : L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie » à la page http://passerellesud.org/Herve-Kempf-L-oligarchie-ca-suffit.html

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Dernière mise à jour le 22/12/2010


De la désillusion démocratique à l’élévation de nos démocraties locales

Le rêve d’une démocratie parfaite où il ferait bon vivre heureux et épanouis dans la société est certainement une image qui parcourt l’esprit de tous ceux épris de politique1. Or aujourd’hui la démocratie est bien souvent vécue comme une désillusion. À chaque élection, les masses médias nous rabâchent que ce qui risque d’être le facteur déterminant serait le taux d’abstention. Lequel pourrait certainement être bien moins important si le vote blanc n’était pas relégué au rang d’un vote nul. Car celui-ci est porteur de beaucoup de sens politique dans les choix des candidats offert à la mandature par les partis politiques. Cependant l’abstention ne veut pas dire désintéressement de nos concitoyens de la chose politique mais est plutôt le signe pour Pierre Rosanvallon d’un « désenchantement démocratique » qui « dérive d’un idéal de fusion entre gouvernés et gouvernants »2. De surcroît, les projets des deux partis majoritaires, censés motiver l’acte de votation et nous représenter, convainquent de moins en moins. Les autres partis Read more »


La Commune de Paris … Toujours vivante

Alain Amicabile a écrit fin 2009 « La Commune de Paris … Toujours vivante » (éditions de l’Ingénu). L’auteur répond aux questions du Colibri à propos de cet ouvrage et de l’actualité que l’expérience communaliste, trop peu connue, conserve, selon lui, aujourd’hui encore notamment sur la question de la démocratie.

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Avant tout, peux-tu situer le terme « Commune » et sa signification historique ?

Ce que les insurgés du printemps 1871 à Paris nomment “Commune” Read more »


Stochocratie

Le Colibri S&D a publié dans le numéro 4 des exemples d’expériences réussies de stochocratie. La rédaction était très partagée sur la publication ou non de cet article : il aiderait à ouvrir les esprits pour certains, il discréditerait le Politique pour d’autres. Par ouverture d’esprit, nous avons finalement décidé de le publier dans le journal papier, en lançant un débat sur le site internet..

N’est-ce pas une fausse bonne solution ? Serait-ce applicable à grande échelle, en Économie Distributive ou dans nos actuelles démocraties ? Le débat est ouvert, réagissez en envoyant votre commentaire !

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Voici l’argumentation de Damien Réhar, militant du tirage au sort :

Les élections nuisent gravement à la démocratie.

Selon Aristote, « le vote était d’essence aristocratique et le tirage au sort d’essence démocratique ».

Pour s’en convaincre il suffit d’effectuer un rapide bilan des politiciens au pouvoir ou de ceux qui veulent leurs places, l’immense majorité est issue des classes sociales supérieures. Mitterand, Chirac, Balladur, De Villepin, Raffarin, Fabius, Berlusconi, Bush (père et fils), DSK, Giscard, etc…

Revenir aux fondements de la démocratie

Etymologiquement, demos veut dire peuple et kraten pouvoir. Donc, le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. En quoi, les retraites, les OGM, les autoroutes, la politique énergétique, les traités européens sont-ils débattus par le peuple ?

Alors, quelle solution pour que le peuple puisse à nouveau jouir de son pouvoir ?

Je prône la stochocratie1 ou le tirage au sort des élus.

Le tirage au sort ne résout pas tous les problèmes, mais presque

En stochocratie, il sera impossible de « faire carrière ». A-t-on déjà vu quelqu’un gagner deux fois de suite, le 6 au loto ? La « magie » du tirage au sort ne permettra pas ce genre de fantaisie, coutumière avec le vote.

L’élu stochocratique devra être présent sur les bancs des parlementaires, comme n’importe quel salarié. En cas d’absence injustifiée, sa rémunération en sera écornée au prorata temporis.

Une représentativité presque parfaite

Si un nombre fait l’unanimité chez les statisticiens pour qu’un échantillon soit représentatif d’une population, c’est celui de 1 000. Ce nombre, correspond à l’addition des deux chambres parlementaires, l’assemblée nationale et le sénat. Il en résultera une véritable représentativité, les femmes représenterons 52 % des parlementaires, les ouvriers 20 % les employés 20 %, les chômeurs 15 %, les français vivant avec moins de 1 200 € par mois 50 %, n’oublions pas les énarques et autres notables, mais dans la même proportion que dans la vraie vie.

Et pour que la représentativité soit parfaite, les indemnités de chaque parlementaire seront basées sur leurs salaires antérieurs au tirage au sort. Dans la vraie vie, il y a une disparité salariale, cette dernière, si l’on veut une assemblée représentative de la population française, doit subsister.

Ce n’est qu’à cette condition que l’on pourra obtenir de véritables débats entre différentes classes sociales et non plus, comme c’est le cas, entre nos élus actuels, qui ont obligation de se plier à la dictature de leur parti.

Le problème de la compétence

Les grecs anciens considéraient déjà que la gestion de la République était une chose trop sérieuse pour la confier à des politiciens. Actuellement, si chaque citoyen a les compétences requises pour voter le candidat de son choix, même s’il est avéré qu’il soit « le fils spirituel de Hitler22 » il, a également les compétences pour siéger dans une assemblée. Grâce à l’éducation nationale, chaque français est censé, savoir lire, écrire, calculer et raisonner, ce qui en fait un citoyen éclairé.

L’abstention active pour parvenir à imposer la stochocratie

Comme toute guerre se termine par manque de combattants, je vous invite à rejoindre les abstentionnistes actifs. Actifs dans le sens où, ils ne souhaitent plus donner de crédit, par leur vote (qu’il soit, de droite, de gauche, nul ou blanc) à un système qui n’a de démocratie que le nom.

Et vous savourerez un plaisir rare, celui de demander à votre député de vous expliquer la provenance de sa légitimité avec une participation déclinant d’élection en élection.

Damien Rehar

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Citations :

– Aristote « il est démocratique, par exemple, de tirer les magistrats au sort ; oligarchique, de les élire »

– Jean-Jacques Rousseau « Spartes était une aristocratie parce que ses magistrats étaient élus »

– Montesquieu « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie ; le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie »

– Louis XVIII « Le représentatif me convient à merveille… depuis que nous avons des députés à nous (…) ils ne me coûtent pas, chaque année, un mois de Mme de Cayla… (…) je n’aimais point du tout ce représentatif ; mais il est à notre bénéfice et dont le produit est immense, le danger nul, quoi qu’on en dise…».

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Livres conseillés par l’auteur :

L’élection organise une aristocratie, L. Henry et Ph-A Pouille, 10 mars 2008.

La Stochocratie, Roger de Sizif, éd les belles lettres. 1998.

La démocratie est morte, vive la clérocratie ! François Amanrich, , Barre & Dayez, 1999

Principes du gouvernement représentatif Bernard ManinFlammarion, coll. « Champs », 1996

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Liens utiles conseillés par l’auteur :

http://stochocratie.free.fr

http://conallboyle.com

http://etienne.chouard.free.fr

http://www.clerocratie.com

1Stocho = hasard / Kraten ou Cratie = pouvoir

2Dixit Paul Elie Lévy, qui gagna le procès contre Jean-Marie LePen, pour avoir prononcé cette phrase.

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Voici la réponse à Damien Rehar de Jean-Yves Causer et Dédé Barnoin :

La « stochocratie » : une vraie fausse bonne idée ?

Face à la bureaucratisation de la vie politique ou aux difficultés de faire entendre ceux qui sont « parlés » (c’est-à-dire tous ceux qui seraient à la fois condamnés au silence et aux préjugés des commentateurs autorisés à en parler) et qui ne constituent pas, aux yeux de bon nombre de responsables politiques, une clientèle électoralement porteuse ou intéressante, le désir est grand d’instaurer de nouvelles règles du jeu avec des mots d’ordre simplificateurs : tirons au sort nos responsables politiques pour susciter un appel d’air démocratique !

Cette proposition contient, en fait, deux présupposés implicites : le premier est que tous les avis se valent même lorsqu’il faut trancher par rapport à un dossier lourd ou complexe et le second sous-entend que la nécessité de transformer en profondeur le système néolibéral n’est plus une priorité dans la mesure où les élus tirés au sort seraient garants d’un fonctionnement démocratique renouvelé.

Ce qui peut ressembler à une bonne blague à la Coluche, du style « prenons les meilleurs à gauche et à droite », (l’ouverture était déjà en germe en 1981?), ne peut qu’insulter tous les élus de terrain, (les plus nombreux), qui donnent de leur temps au quotidien sans rien attendre en retour. A défaut d’une marque de reconnaissance, il importe de ne pas les caractériser comme de simples pions interchangeables. Il serait d’ailleurs temps de ne plus confondre valeur sociale de l’agent qui se réfère à une réputation, à l’appartenance identitaire à une pluralité de réseaux (surface sociale ou capital symbolique aurait dit le sociologue Pierre Bourdieu) et valeur humaine de la personne se jaugeant à la capacité de donner et de se donner sans compter (ce qui nous ramène notamment aux travaux du Manifeste Anti Utilitariste en Sciences Sociales).

Plus sérieusement, nous ne pensons pas que des aménagements marginaux, comme le tirage au sort des représentants au sein de groupes de militants (évidemment plus pertinents qu’un simple sondage aléatoire) puissent nous dispenser d’un mouvement sociétal européen, aujourd’hui indispensable pour l’instauration d’une politique alternative au capitalisme. Ce qui ne nous empêche pas de promouvoir diverses expérimentations solidaires car le combat pour une meilleure participation active et citoyenne passe par les urnes, les manifestations et l’expérimentation de nouveaux modes du vivre ensemble. C’est pourquoi nous ne pouvons souscrire au concept de stochocratie qui substitue le hasard à l’engagement politique.

Jean-Yves Causer et Dédé Barnoin

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À vous de réagir en rédigeant votre commentaire…

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publié le 08/11/2010

Les élections nuisent gravement à la démocratie.

Selon Aristote, « le vote était d’essence aristocratique et le tirage au sort d’essence démocratique ».

Pour s’en convaincre il suffit d’effectuer un rapide bilan des politiciens au pouvoir ou de ceux qui veulent leurs places, l’immense majorité est issue des classes sociales supérieures. Mitterand, Chirac, Balladur, De Villepin, Raffarin, Fabius, Berlusconi, Bush (père et fils), DSK, Giscard, etc…

Revenir aux fondements de la démocratie

Etymologiquement, demos veut dire peuple et kraten pouvoir. Donc, le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. En quoi, les retraites, les OGM, les autoroutes, la politique énergétique, les traités européens sont-ils débattus par le peuple ?

Alors, quelle solution pour que le peuple puisse à nouveau jouir de son pouvoir ?

Je prône la stochocratie1 ou le tirage au sort des élus.

Le tirage au sort ne résout pas tous les problèmes, mais presque

En stochocratie, il sera impossible de « faire carrière ». A-t-on déjà vu quelqu’un gagner deux fois de suite, le 6 au loto ? La « magie » du tirage au sort ne permettra pas ce genre de fantaisie, coutumière avec le vote.

L’élu stochocratique devra être présent sur les bancs des parlementaires, comme n’importe quel salarié. En cas d’absence injustifiée, sa rémunération en sera écornée au prorata temporis.

Une représentativité presque parfaite

Si un nombre fait l’unanimité chez les statisticiens pour qu’un échantillon soit représentatif d’une population, c’est celui de 1 000. Ce nombre, correspond à l’addition des deux chambres parlementaires, l’assemblée nationale et le sénat. Il en résultera une véritable représentativité, les femmes représenterons 52 % des parlementaires, les ouvriers 20 % les employés 20 %, les chômeurs 15 %, les français vivant avec moins de 1 200 € par mois 50 %, n’oublions pas les énarques et autres notables, mais dans la même proportion que dans la vraie vie.

Et pour que la représentativité soit parfaite, les indemnités de chaque parlementaire seront basées sur leurs salaires antérieurs au tirage au sort. Dans la vraie vie, il y a une disparité salariale, cette dernière, si l’on veut une assemblée représentative de la population française, doit subsister.

Ce n’est qu’à cette condition que l’on pourra obtenir de véritables débats entre différentes classes sociales et non plus, comme c’est le cas, entre nos élus actuels, qui ont obligation de se plier à la dictature de leur parti.

Le problème de la compétence

Les grecs anciens considéraient déjà que la gestion de la République était une chose trop sérieuse pour la confier à des politiciens. Actuellement, si chaque citoyen a les compétences requises pour voter le candidat de son choix, même s’il est avéré qu’il soit « le fils spirituel de Hitler22 » il, a également les compétences pour siéger dans une assemblée. Grâce à l’éducation nationale, chaque français est censé, savoir lire, écrire, calculer et raisonner, ce qui en fait un citoyen éclairé.

L’abstention active pour parvenir à imposer la stochocratie

Comme toute guerre se termine par manque de combattants, je vous invite à rejoindre les abstentionnistes actifs. Actifs dans le sens où, ils ne souhaitent plus donner de crédit, par leur vote (qu’il soit, de droite, de gauche, nul ou blanc) à un système qui n’a de démocratie que le nom.

Et vous savourerez un plaisir rare, celui de demander à votre député de vous expliquer la provenance de sa légitimité avec une participation déclinant d’élection en élection.

Damien Rehar

Citations

– Aristote « il est démocratique, par exemple, de tirer les magistrats au sort ; oligarchique, de les élire »

– Jean-Jacques Rousseau « Spartes était une aristocratie parce que ses magistrats étaient élus »

– Montesquieu « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie ; le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie »

– Louis XVIII « Le représentatif me convient à merveille… depuis que nous avons des députés à nous (…) ils ne me coûtent pas, chaque année, un mois de Mme de Cayla… (…) je n’aimais point du tout ce représentatif ; mais il est à notre bénéfice et dont le produit est immense, le danger nul, quoi qu’on en dise…».

Livres conseillés par l’auteur :

L’élection organise une aristocratie, L. Henry et Ph-A Pouille, 10 mars 2008.

La Stochocratie, Roger de Sizif, éd les belles lettres. 1998.

La démocratie est morte, vive la clérocratie ! François Amanrich, , Barre & Dayez, 1999

Principes du gouvernement représentatif Bernard ManinFlammarion, coll. « Champs », 1996

Liens utiles conseillés par l’auteur :

http://stochocratie.free.fr/

http://conallboyle.com

http://etienne.chouard.free.fr/

http://www.clerocratie.com

1Stocho = hasard / Kraten ou Cratie = pouvoir

2Dixit Paul Elie Lévy, qui gagna le procès contre Jean-Marie LePen, pour avoir prononcé cette phrase.


Projet de territoire avec ColorVote aux Chaufourniers


François Guillotte a présenté l’outil ColorVote dans le Colibri n°4 page 14. Voici plus de détails sur la globalité du « projet de territoire », à travers cet article complet, paru dans les Cahier de l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme d’Ile de France n°155 d’août 2010 sous le titre « Les habitants et le projet de territoire des Chaufourniers ».

Lire l’article (pdf de 2 pages).

Pour télécharger le cahier dans son ensemble, allez sur cette page (92 pages).

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publié le 05/11/2010


ONG au secours de la France : BSF, DSF, SDM…

« ONG land », le pays des ONG. La France mérite ce surnom, tant sont nombreuses ses associations humanitaires et développementistes, œuvrant dans presque tous les pays du Sud. L’inverse est-il vrai ? Existe-t-il des ONG du Sud œuvrant sur notre sol ? Non, penserez-vous. Pourtant, des initiatives existent, comme les associations Bamako France Solidarité (BFS), Démocrates Sans Frontières (DSF) et Sens Du Monde (SDM)…

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…le Colibri S&D vous invite à lire l’excellent article du Congolais Patrick Eric Mampouya. Lire ici

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Allons, fiers Français, humilité et courage !

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publié le 30/10/2010


MARINALEDA : una utopia hacia la paz

Incroyable mais vrai !

Démocratie participative, propriété d’usage, égalité des revenus, partage du travail…
sont le quotidien des 2700 Européens à Marinaleda.

« Dans une Espagne ravagée par la crise immobilière et le chômage de masse, cette ville est une exception prospère grâce à la gestion coopérative d’une terre collectivisée. »

Le Colibri S&D invite à lire l’article de Jean-Pierre Mon publié dans la Grande Relève n°1110 de juin 2010, immédiatement disponible ici.

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publié le 01/07/2010


Bourses-forêt pour sauver la forêt amazonienne

Le Colibri S&D invite à découvrir la très belle initiative relayée par Jean-Jacques Fontaine sur son blog. On est toujours dans le capitalisme avec la banque privée qui ne précise pas l’origine de l’argent de départ ni la nature des placements, mais cet argent solidaire permet d’améliorer la vie de 6000 familles et de préserver la forêt amazonienne. Lire ici

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publié le 25/06/2010


Pile ou face, ou Pile et face, ou ?…

Pas facile de réussir à mettre en place une Économie Distributive quand on sait qu’une épée de Damoclès est accrochée à un fil au-dessus de notre tête. Personnellement je ne suis pas très optimiste sur notre très proche avenir. J’espère bien me tromper, mais j’ai bien l’impression que nous nous plaisons à faire comme si de rien n’était, dans l’espoir qu’en ne regardant pas le danger en face il passera à côté. S’il y a bien une chose que l’être humain a apprise, Read more »