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Le courrier des lecteurs, Colibri S&D n°7

Longue vie

Je vous remercie pour tout le formidable travail que vous réalisez et souhaite longue vie au service de la Vie… à Colibri S&D.

Monique (33)

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Magnifique Colibri

Si tôt arrivé, si tôt lu et dévoré.
Merci
pour ce 6ème numéro du Colibri S&D qui donne de l’espoir et fera évoluer les mentalités.

Le revenu d’existence est un droit et ne peut apporter que des bienfaits. Seuls le refusent les bien lotis en prêtant aux autres des idées qu’ils n’ont surtout pas. Il est impensable de ne pas rendre quand on a tant reçu et il y a plus de plaisir à donner qu’à recevoir.

Ne jamais oublier que la monnaie demeure le premier lien social.
Refuser
ce lien à qui que ce soit revient à l’exclure, à le rejeter de l’humanité, à l’humilier.
Ainsi
on divise la société en prenant le chemin des révoltes, des révolutions et des guerres.

Jacques (73)

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Séduire la « masse qui vote »

envoyé conjointement au Colibri S&D et à Solidarité & Progrès

Je suis abonné par conviction à vos 2 journaux/revues après avoir « milité » dans les années 50/60 pour l’Économie Distributive (ED) de Jacques Duboin : nous avions dans les Vosges un noyau important de « convaincus » avec sur Rambervillers (6000 habitants) une demi-douzaine d’industriels, commerçants, journaliste, etc… qui organisaient des conférences en Lorraine.


Est-ce
l’âge (j’aurai 87 ans à la prochaine Toussaint) ? Mais dans vos périodiques précités je ne retrouve pas la « simplicité », la meilleure façon de bien comprendre et de convaincre avant d’appliquer, les préconisations de J. Duboin, telles que je les ressentais à l’époque.

Je crains donc que vous ne parveniez pas de cette façon à séduire la « masse qui vote » en vous satisfaisant seulement d’intéresser une certaine élite intellectuelle, pas forcément attachée au bien public, et le temps passe vite qui ne vous attendra pas.

J’ai cité plus haut vos deux Mouvements : il en existe peut-être encore d’autres en France : pourquoi ne pas vous fédérer ??

Vous n’en auriez que plus de force, d’audience et de puissance pour faire valoir vos idées, face aux partis politiques traditionnels qui ne vous feront pas de cadeaux (j’ai été élu PS et j’ai encore conservé, timidement, ma carte).

Le présent « appel » constitue ce que je peux encore faire, isolé et âgé, pour aider à propager utilement cette grande idée de l’ED qui mérite un autre développement qu’une discussion limitée entre élites intellectuelles.

PS : il me revient le slogan de l’époque J. Duboin : « De chacun selon ses moyens à chacun suivant ses besoins »… l’essentiel était dit en peu de mots.

Georges (88)

> Nous serons heureux de collaborer avec Solidarité & Progrès lorsque ce parti voudra approfondir les propositions de l’ED, comme nous venons de le faire avec le Mouvement des Écologistes Indépendants lors de leur Université d’été à La Bourboule et comme nous souhaiterions le faire avec tous les partis politiques motivés pour résoudre la crise financière ET l’équation de l’empreinte écologique.

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Bluffé

J’ai lu avec grand intérêt le Colibri S&D N°6 dédié au Revenu d’Existence (RE) et franchement, je suis bluffé ! En fait, c’est l’idée pour laquelle j’aimerais mourir si je peux me permettre d’emprunter ces paroles à leur auteur.

Du coup je me dit qu’il doit bien rester des bricoles à faire pour que cette idée devienne réalité, et je n’ai pas trouvé de réelles indications sur les moyens de contribuer au partage de cette idée. Je pense à des métiers ou encore à des activités qui devraient être menées pour faire en sorte que cela se concrétise. Alors je me disais que tu aurais peut-être des contacts d’associations, d’universités ou pourquoi pas de localités qui chercheraient des volontaires ?

Christophe (63)

> Pour t’impliquer pour le RE, il y a beaucoup à faire. Tu peux te rapprocher de François Plassard (cf. annonce de son livre à la page www.leseditionsovadia.com/wordpress) et/ou de l’association AIRE (contact.aire@wanadoo.fr).

Le mieux serait de s’impliquer non pour le RE isolé, qui, lâché en pâture dans le capitalisme, serait trop facilement galvaudable, mais pour la proposition d’associer le RE à une monnaie distributive et à la propriété d’usage (cf. l’article de la rubrique ED du n°6).

Et pour faire connaître cette Économie Distributive, il y a fort à faire : organiser des conférences, animer des conférences, interpeller les députés de son entourage, faire connaître le Colibri Solidaire et Distributif et la Grande Relève

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publié dans le n°7 de septembre 2011, mis en ligne le 08/12/2011


Le courrier des lecteurs, Colibri S&D n°6

Articles du site internet

Voilà j’ai passé plusieurs heures cette semaine à lire les articles du Colibri sur le site, je ne savais pas qu’il y avait un site ! Aïe vous pouvez me taper sur les doigts. Je croyais juste qu’il y avait la revue papier et à vrai dire je ne crois plus à ce moyen de communiquer de l’information… donc les sujets traités sur le site, bien évidemment me parlent beaucoup. Bravo pour les articles et les recherches, enquêtes et autres. J’ai goûté récemment à la spiruline… au bon goût ? d’algue… dans le potage ça passe très bien, la prochaine fois, je la prendrai en comprimés… tant mieux si elle est cultivée en Alsace et qu’elle profite aux plus « malnutris » de notre planète. Tant mieux aussi pour les Islandais qui se réveillent bien avant Paris… et bravo à JM Governatori pour son bouquin s’il peut déshypnotiser ceux qui le liront ; que les biens de consommation soient des biens de compensation j’en suis convaincue depuis longtemps…

Donc je suis bien ravie que vous trouviez votre place dans cette belle initiative de changer le monde… à mon niveau j’essaie juste d’apporter l’éveil de conscience que je porte, aux élèves que la Vie me confie pour qu’ils ne reproduisent pas les vieux schémas…

Céline (88)

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Numéro 5 percutant

C’est le premier N° qui me parle vraiment, je pense qu’il touchera un public plus large.

Esther (88)

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De l’amour à… l’égalité

Merci pour le Colibri S&D n°5. Je l’ai trouvé encore plus intéressant et varié que les précédents. Au fur-et-à-mesure de leurs parutions, je transmets les revues à des personnes susceptibles d’être intéressées (j’espère leur donner envie de s’abonner !).

J’ai aimé l’article de Laurent Gounelle. Les scientifiques se demandent comment les étudiants font pour envoyer de l’amour aux cellules cancéreuses. Je pense que les jeunes doivent s’imaginer les cellules comme elles étaient avant le cancer. Ils les voient très belles, ainsi il doit être plus facile de les aimer (comme on aime naturellement un bébé). D’autres s’imaginent peut-être les cellules en train de se transformer et de se régénérer. Et puis, une maman aime bien son fils qui est en prison ! Alors pourquoi pas une cellule cancéreuse… C’est mon point de vue.

Éric, quand vous répondez à Chénica page 15, vous écrivez que les retraités vont recevoir le revenu d’existence. Est-ce que cela signifie que ma soeur, qui a travaillé pendant 5 ans, va toucher autant que moi (j’ai 35 ans d’ancienneté) ? Je trouve que ça ne serait pas très juste ! Je travaille à 75 km de la maison. Je suis épuisée et ma soeur est en pleine forme. > Comme vous avez pu lire dans la rubrique ED, le débat est toujours ouvert. Dans notre société, vu qu’il n’y a pas de place pour tout le monde, on peut avancer que si la moitié des gens au RSA profitent du système, l’autre moitié des gens le subissent car ils ne peuvent pas trouver de place. Je pense personnellement que nous sommes tous interdépendants. Un pharmacien ou un ministre ne peut travailler proprement dans son lieu de travail que grâce au professionnalisme des secrétaires et des agents de nettoyage. Légitimer des revenus inégaux ?…

Déjà maintenant, j’ai besoin d’argent pour me soigner et tenir bon. Quand l’ED sera en place, il ne faudra pas oublier de permettre l’accès à une large gamme de soins de santé.

Patricia (59)

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Fonctionnement de l’ED : suite de l’échange entre Chénica (71) et Éric

Un système de démocratie participative fonctionnant par petits comités locaux, je trouve ça génial. Maintenant, est-on vraiment à l’abri de fortes personnalités qui cherchent à dominer et prendre le pouvoir ? > En ED, la politique est débarrassée des enjeux financiers : les barons de l’oligarchie actuelle ne pourront plus continuer à nous manipuler par leur fric et par la menace de nous faire perdre nos revenus.

Si j’ai bien compris, tout le monde aurait le même revenu à part égale, quelles que soient ses responsabilités au travail et donc quel que soit son investissement. Les gens seront-ils encore motivés pour des postes à responsabilité ? Ou alors dans les entreprises, il n’y aura plus de responsable et tout le monde participera aux décisions ; comme American Airlines… Par contre, ceux qui ne souhaitent rien faire recevront moins d’argent. > Si l’on réussit à s’entendre sur une façon de légitimer des revenus inégaux, ta question ne se posera plus. Si les revenus son égalitaires, il y a plusieurs éléments de réponse :

1/ Aujourd’hui, il y déjà plein de gens qui travaillent plus que ce pour quoi ils sont payés (dans le privé comme dans le public), ils continueront donc facilement en ED.

2/ Il y a plein de personnes qui aimeraient travailler (avec ou sans responsabilités) mais on ne peut pas financer leurs postes (social, recherche, espaces naturels…). En ED, si l’on décide démocratiquement que c’est important, ces gens pourront enfin travailler.

3/ Le travail n’étant plus soumis au diktat de la rentabilité, les gens pouvant changer facilement de travail au fur-et-à-mesure de leur évolution de vie, restera t-il beaucoup de gens qui resteront à ne rien faire ? Si tel était le cas et que le système global risque d’en pâtir, alors on utilisera le Revenu Minimum de Non Insertion. Ce sera alors un choix délibéré des gens de s’auto-exclure (pas comme le RMI qui est subi par minimum la moitié des gens, pour qui la société ne peut pas fournir de poste de travail).

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publié dans le n°6 de juin 2011, mis en ligne le 08/12/2011


Le courrier des lecteurs, Colibri S&D n°5

Réformer le système financier mondial

J’ai bien reçu le très intéressant n°4 !

Je vais tout se suite prolonger mon abonnement et faire un don.

J’aime bien la variété des intervenants et des points de vue, et là, on est servi !
Je
vois le rôle du «  Colibri S&D«  comme un brasseur de concepts et d’idées, destinées à la sortie des ornières mortifères dans lesquelles nous nous trouvons, et là, personne n’est de trop. Même si on n’est pas toujours d’accord avec ceci ou cela

A partir de cette réflexion, peuvent aussi se dessiner des chemins pratiques se mettre en route dès maintenant.

Au moment notre président ambitionne de réformer le système financier mondial (il l’a dit !), on ne dirait pas que celui-ci tremble sur ses bases (ça viendra peut-être… mais j’ai des doutes…). Supposons qu’un mouvement d’opposition crédible annonce de telles intentions, aussitôt la spéculation se déchaînerait contre notre pays, et on serait vite à genoux devant la fuite des capitaux. Comment s’y prendre, quelles conditions préalables sont à réunir ? J’aimerais que le Colibri donne à nouveau la parole à Michel Laloux, sur l’argent et la finance, et le système démocratique qui permettrait de faire le poids face aux forces immenses d’accaparement. .

Françoise (68)

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Bravo

Bravo pour ce magazine que je trouve super. Je vais me réabonner et même faire de la pub. Il y a de très bons articles.

Nicolas (01)

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Demi-prix

En formation de Musicienne intervenante (DUMI), je suis dans l’attente de bénéficier du RSA. Merci de proposer un abonnement demi-prix pour les personnes à faibles revenus.

Elise (58)

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Fonctionnement de l’ED : échanges entre Chénica (71) et Éric

Je viens de lire le colibri. Très intéressants, ces exemples d’entreprises qui fonctionnent selon une démocratie active ou « participative ». J’ai bien aimé aussi l’article sur la Commune de Paris. En tout cas, les idées émises pendant cette période ont donné lieu à plusieurs lois votées par la suite en France. Sinon, je suis assez d’accord avec le lecteur qui explique qu’il faudrait qu’il y ait une définition permanente du cœur du projet de l’Économie Distributive. Tu m’ as d’ailleurs expliqué ce qu’est l’ED lorsqu’on s’est vu au salon primevère l’année dernière. Mais je ne m’en souviens plus bien. Mise à part que chacun bénéficierait d’un revenu d’existence ; qu’il n’y aurait pas d’accumulation de richesse et qu’à terme il n’y aurait plus besoin d’argent si je me souviens bien. > Je t’invite à lire la présentation de quelques pages qui se trouve sur www.lecolibri.org dans la page Economie(s)/Aller plus loin

Enfin, toutes ces démarches alternatives dont le Colibri fait écho paraissent intéressantes, et porteuses d’espoir ; j’ai bien aimé l’exemple du village dans le Doubs. Les gens semblent si bien y vivre que les jeunes ne s’en vont pas. Ce que j’en retire c’est que l’ED propose une vaste transformation de l’organisation sociétale et économique. L’objectif je crois, c’est aussi qu’il y ait moins d’inégalités dans une visée humaniste > l’objectif est de supprimer totalement les inégalités économiques, de mettre en place un fonctionnement réellement équitable. Les décisions seraient prises au plus près du citoyen ce qui permet d’éviter une graduelle totalitarisation comme on a pu voir avec Staline. > tout à fait Est-ce que j’ai bien compris ?

Ma mère doit me montrer un film sur le revenu d’existence qu’elle a reçu par internet. J’en apprendrai un peu plus. > je t’invite à lire également l’article « Tentation du Revenu d’Existence » à la page http://ecodistributive.chez-alice.fr/?page=idees/article-tentation-du-re

J’ai lu « aller plus loin », ça m’a donné un éclairage. C’est une transformation de la société en profondeur que vous proposez. Moi, je trouve qu’il y a tout de même un système de solidarité nationale en place qu’il serait bon de conserver. Comment la santé serait-elle gérée en ED ? Elle ferait partie des biens et des services échangés ? Je trouve que notre système de santé, notamment avec la Sécurité Sociale assure quasiment un droit à la santé pour tous. Celui qui a un revenu de base > Il n’y a pas de revenu de base : tout le monde touche le Revenu d’Existence, il n’y a plus de revenu d’activité (car sinon, le partage du travail n’est guère possible) devra-t-il payer le médecin de sa poche conservera-t-on le système de solidarité nationale déjà en place ? > Pour tous les services publics, nous aurons à décider s’ils seront gratuits ou payants. Faire payer une partie peut permettre de responsabiliser les gens lorsque c’est nécessaire. S’ils sont gratuits, cela veut dire que le travail des aides-soignants, infirmiers, médecins… n’est pas comptabilisé dans la somme des produits qui vont être vendus le mois suivant. S’ils sont payants, on ajoutera le montant des prestations qui seront à acheter dans le montant total de l’argent à distribuer. Et les retraites ? > Les retraités, comme les enfants et les étudiants, touchent tous le revenu d’existence.

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publié dans le n°5 de mars 2011, mis en ligne le 08/12/2011


Le courrier des lecteurs, Colibri S&D n°4

Besoin

Vous avez bien fait de faire un « appel » par email le 26 avril… car je serais contrarié que votre publication ne puisse perdurer. J’en ai besoin pour alimenter ma réflexion personnelle.

Christian (25)

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Présenter le coeur du projet

Je pense que votre magazine gagnerait a affirmer dés le début, une définition permanente écrite du coeur de votre projet (en quelques lignes).

Jean-Marc (06)

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Donner envie d’aller plus loin

J’ai bien reçu et lu avec plaisir les trois numéros de Colibri. Beaucoup de recoupements avec ce que je pense. Le noyau central d’un changement de Société se situe autour d’une définition de la monnaie, de sa conception, de son emploi. La monnaie, c’est le pilier de l’amitié vécue, de la cohésion du groupe, tout le reste est bavardage.

J’ai bien apprécié les articles :
« Estime
de soi et souci de l’autre par Etienne Godinot »
« Jacques
Duboin et le droit à la vie par Michel Loetscher »
Je
relirai selon mon habitude.

Les critiques de Céline, Manue et Virginie me semblent déplacées. Une Revue principalement d’éveil ne doit pas craindre des répétitions et des redites tout en recoupant d’autres ouvrages. L’essentiel, c’est de donner envie d’aller plus loin et vous donnez beaucoup de clefs et de références.

Jacques (73)

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Avenir

Bon voilà, je me suis décidée à m’abonner pour un an. Cela m’intéresse de voir autrement l’avenir.

Véronique (54)

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publié dans le n°4 de novembre 2010, mis en ligne le 08/12/2011


Le courrier des lecteurs, Colibri S&D n°3

Tout lu

J’ai lu tout le n°2. C’est la première fois que je lis entièrement un journal.

Je vais le faire connaître.

Michelle (25)

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Remonte le moral

Mes revenus sont faibles (ASS) et mon « réseau » social quasi nul. Ne travaillant pas je suis très isolé et en proie au doute quant à mes idées utopiques par conséquent. L’existence de votre revue me remonte le moral, me donne de l’espoir, celui de rencontrer des gens qui me ressemblent. Je souhaite participer à vos réunions, apporter mon témoignage.

Olivier (88)

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Bien aimé

J‘ai parcouru les 2 numéros du Colibri S&D . Bien aimé les articles de fond et la philosophie du collectif.

Philippe (42)

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Structure et âme à trouver

Toutes les trois avons été quelque peu déçues par le numéro 2 et vous proposons notre point de vue pour vous aider à avancer. Nous nous demandons quelle est la cible du Colibri S&D . Est-ce un journal pour parler des alternatives en général ? Lectrices de presse alternative, nous n’avons pas appris grand chose dans les sujets proposés, nous aurions souhaité qu’ils soient plus approfondis (sans être plus intellectuels). Ne faudrait-il pas des articles plus longs, à l’image de l’Age de FAIRE qui fait des doubles pages sur certains sujets ? Est-ce un journal pour vulgariser l’Économie Distributive ? Si oui, les personnes qui connaissent déjà ne risquent-elles pas de s’ennuyer ?

Céline (03), Manue (54) et Virginie (88)

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Je me suis envolée avec lui

La première fois que jai tenu le Colibri S&D entre les mains, je sortais de la Maison de la Citoyenneté Mondiale de Mulhouse jai rencontré M. Winterhalter qui mexpliquait ce quétait lÉconomie Distributive. En effet, il ma fait découvrir cette nouvelle revue suite à une interview je linterrogeais sur les métiers en rapport avec lÉconomie Solidaire (projet détudes).

En ouvrant le Colibri S&D, je me suis envolée avec lui au détour de concepts nouveaux pour moi et dans l’envers du décor de l’actualité. J’ai tout de suite accroché aux idées qu’on me transmettait dans les lignes de cette petite revue rouge.

Le Colibri S&D est un journal original et audacieux, j’aime la manière dont les articles sont écrits et tous savent appâter ma curiosité. J’ai vraiment eu envie de soutenir cette idée d’économie alternative en m’abonnant.

Cette revue est pour moi une valeur ajoutée. En tant qu’étudiante, je m’y retrouve dans la simplicité avec laquelle les auteurs s’adressent à nous, on se sent « proche par nos idées ».

Valeur ajoutée aussi parce que le Colibri S&D sait éveiller ma réflexion et aiguiser mon sens critique par rapport à la société dans laquelle nous vivons.

J’aime la charte graphique et les illustrations qui rendent la revue très agréable à lire. J’aime faire partager sa lecture avec des proches et pour cela j’ai préféré la version papier même si c’est un peu moins écologique…

Toutes ces remarques sont positives mais si je devais citer des choses que je regrette c’est peut-être que j’aurais aimé avoir plus de pages et une plus grande fréquence de parution mais je sais que cela dépend du nombre d’abonnés et que cela engendrerait sans doute des coûts supplémentaires. J’espère que très vite les abonnements seront assez nombreux pour augmenter le nombre de parutions.

J’ai pu trouver le parallèle avec des articles (comme des informations sur le Magasin Pour Rien) sur le site web du Colibri S&D et donc dans l’ensemble je suis très satisfaite mais il faudrait peut-être indiquer plus visiblement que l’on peut aussi visiter des pages du site web même sans abonnement.

Merci encore pour cette revue, en attendant le numéro 3 !

Marion (68)

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> Le Colibri S&D :

À nos yeux, les critiques positives répondent en partie aux questions soulevées par Céline, Manue et Virginie. Il ne sera pas possible de plaire à tout le monde, mais essayons de faire au mieux.

Notre objectif n’est pas de développer une information intellectuelle dense et complète, mais de faire de la vulgarisation, de suggérer l’envie d’en savoir plus et de se mettre en mouvement sur de nouveaux chemins complémentaires. Ceci étant, nous allons étudier la possibilité d’augmenter le nombre de pages afin de développer un peu plus longuement certains sujets.

Forcement, les lecteurs attentifs de presse alternative sont déjà au courant de beaucoup de choses, c’est dur de les surprendre. Étant dans cette catégorie, lorsque je parcours le journal d’un confrère, je suis content si je découvre un nouveau sujet par numéro. Combien de lecteurs du n°2 n’auront pas découvert un seul sujet ? Qui connaissait déjà l’Économie de Communion ? Les Magasins pour Rien ? Sur ce sujet, nous avons voulu piquer la curiosité… deux cas concrets sont maintenant visibles sur notre site -, il aurait peut-être fallu développer plus dans le n°2 ?

Nous espérons être soutenus pas les adeptes de l’Économie Distributive, mais c’est surtout les gens qui ne la connaissent pas encore que l’on souhaite toucher, pour qu’ils découvrent les éléments qui manquaient jusqu’alors pour généraliser à toute la société les pratiques solidaires et citoyennes.

Quoi qu’il en soit, un très grand merci pour toutes vos réactions. Nous comptons sur vous pour nous exprimer vos réactions à la lecture du journal !

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publié dans le n°3 d’avril 2010, mis en ligne le 25/11/2011

> Le Colibri S&D :

A nos yeux, les critiques positives répondent en partie aux questions soulevées par Céline, Manue et Virginie. Il ne sera pas possible de plaire à tout le monde, mais essayons de faire au mieux.

Notre objectif n’est pas de développer une information intellectuelle dense et complète, mais de faire de la vulgarisation, de suggérer l’envie d’en savoir plus et de se mettre en mouvement sur de nouveaux chemins complémentaires. Ceci étant, nous allons étudier la possibilité d’augmenter le nombre de pages afin de développer un peu plus longuement certains sujets.

Forcement, les lecteurs attentifs de presse alternative sont déjà au courant de beaucoup de choses, c’est dur de les surprendre. Étant dans cette catégorie, lorsque je parcours le journal d’un confrère, je suis content si je découvre un nouveau sujet par numéro. Combien de lecteurs du n°2 n’auront pas découvert un seul sujet ? Qui connaissait déjà l’Économie de Communion ? Les Magasins pour Rien ? Sur ce sujet, nous avons voulu piquer la curiosité… deux cas concrets sont maintenant visibles sur notre site -, il aurait peut-être fallu développer plus dans le n°2 ?

Nous espérons être soutenus pas les adeptes de l’Économie Distributive, mais c’est surtout les gens qui ne la connaissent pas encore que l’on souhaite toucher, pour qu’ils découvrent les éléments qui manquaient jusqu’alors pour généraliser à toute la société les pratiques solidaires et citoyennes.

Quoi qu’il en soit, un très grand merci pour toutes vos réactions. Nous comptons sur vous pour nous exprimer vos réactions à la lecture du journal !


Le courrier des lecteurs, Colibri S&D n°2

Bon courage

Voici ma petite contribution à une entreprise dont j’espère qu’elle connaîtra le succès qu’elle mérite.

Bravo ! Bon courage et au plaisir de se rencontrer

Florence (39)

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Nouvel esprit solidaire

Je suis intéressé par tout ce qui touche la solidarité et la société. Je pense qu’un journal comme ça peut impulser un nouvel esprit solidaire.

Bon travail et bonne association… Amicalement

Gérard (54)

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Journal par courriel

Je dispose du net, je suis tout à fait disposée à payer l’abonnement et à juste recevoir le journal par courriel. Je n’ai pas besoin de la forme papier qui occasionne des frais et des dépenses d’énergie.

Bien à vous, heureuse de participer à votre lancement,

Esther (42)

> Le Colibri S&D : Plusieurs personnes nous ont formulé cette proposition. L’intérêt écologique est indéniable. L’inconvénient est que vous aurez moins facile à le montrer à vos amis et à contribuer au développement du journal. Par ailleurs, tout le monde ne dispose pas d’internet et beaucoup de personnes n’aiment pas lire plusieurs pages sur un écran. En tenant compte de tous ces avis, nous avons opté pour deux types d’abonnements : un abonnement « papier » par courrier postal et un abonnement « courriel » par internet. Et toujours des tarifs solidaires ! Ceux qui se sont abonnés en 2009 pour 2010 et qui voudraient comme vous le recevoir uniquement par internet peuvent nous le faire savoir par courriel.

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Endettement, SEL

Comme prévu suite à notre rencontre à Relanges [88], voilà mon abonnement. Je partage votre opinion d’enlever aux banques la création monétaire. C’est depuis cette période, sous Giscard en France, que l’endettement a débuté pour les ménages, les collectivités, l’État.

Je rêve depuis longtemps de créer un SEL, pour créer lien et permettre aux personnes sans ressources financières de se cultiver ou se former… D’ailleurs M6 a diffusé un documentaire sur le sujet [ndlr en avril].

Au plaisir de vous lire bientôt sur le Net.

Philippe (88)

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Oeuvre utile

J’ai beaucoup apprécié le contenu, la présentation, le style, les dessins (++++) .

Vous avez tout mon soutien et ma reconnaissance pour cette oeuvre utile.

Françoise (74)

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Lettre d’un abonné adressée au PS

Dans cette même semaine, j’ai reçu la lettre de 3 pages que nous a adressée Martine Aubry, et aussi le 1er numéro de la revue « Colibri Solidaire et Distributif » éditée à Mulhouse, et héritière, je pense, de l’ÉCONOMIE DISTRIBUTIVE de Jacques DUBOIN, que j’ai suivie de très près, il y a une bonne trentaine d’années, et dont la devise était déjà « Utopie d’Aujourd’hui, Réalité de Demain ».

Je me pose maintenant la question de savoir si cette coïncidence ne vas pas nécessairement entraîner pour moi une nouvelle prise de conscience, quant au fait que les « anciens moyens politiques de la Gauche » ne parviendront plus à assurer l’avenir des jeunes générations, actuelles et futures.

J’avais 12 ans en 1936, mes parents étaient ouvriers chez BOUSSAC, et j’ai vécu la grande grève de 36 comme une fête annonciatrice (!), et puis, j’ai assisté, déçu, à tous les aléas que chacun a pu connaître dans les 70 ans qui ont suivi.

Je veux bien reconnaître que la Gauche a quand même fait « émerger », de temps à autre, ici ou là, des valeurs et des droits, mais sans parvenir à les imposer durablement comme règles de gouvernement universel.

Je veux bien aussi que l’on reparle d’une « Maison commune de toute la Gauche », mais, à revivre tous les accidents et incidents que j’ai pu voir « à gauche », je suis très sceptique… d’autant qu’on va certainement « solliciter » les mêmes qui ont créé la cacophonie actuelle, et ne sauront pas faire autre chose.

Sincèrement, je pense qu’un avenir mondial, serein, équitable, etc… devra un jour ou l’autre rejeter le système économico-politique actuel, et, pourquoi pas ?, évoluer à partir des thèses de cette ÉCONOMIE DISTRIBUTIVE.

Reste à espérer pour cela que l’inertie et l’incompréhension des masses bénéficiaires concernées disparaissent assez vite, et que les puissances oligarchiques existantes ne trouvent pas la parade : il y a donc beaucoup de travail en perspective, mais plus de temps à perdre.

Mais, néanmoins, j’ai toujours beaucoup de sympathie à partager « à Gauche ».

Bien amicalement à toutes et à tous.

Georges (88)

> Le Colibri S&D : Cette lettre est rédigée par un adhérent du PS. Des adhérents de l’UMP, du Modem, des Verts, du PC… ne pourraient-ils pas en dire autant ? L’Économie Distributive permettra, espérons le, de sortir des sentiers battus.

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publié dans le n°2 de janvier 2010, mis en ligne le 24/11/2011